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mardi 13 mai à 18h
//// conférences à Paris
UEVACJEA - 26 rue du Renard Paris 4e




Les anciens combattants juifs internés dans les camps de Beaune-la-Rolande et Pithiviers (1941-1942) par Catherine Thion, historienne 


Le 14 mai 1941, des hommes sont arrêtés parce que juifs et étrangers, alors qu’ils s’étaient engagés en 1939 ou en 1940 pour défendre le pays qui les avait accueillis. Comment sont-ils considérés par le gouvernement de Vichy ? Ont-ils un statut particulier qui va les différencier des autres internés ?







Les étrangers dans la Résistance par Denis Peschanski, historien


Durant la Seconde Guerre mondiale, la résistance au nazisme en France fut l’œuvre d'hommes et de femmes de toutes origines sociales, politiques et nationales. Parmi ceux-ci, les étrangers ont occupé une place décisive. Venus en France pour des raisons économiques ou politiques - beaucoup fuyaient les fascismes - ils se sont battus pour un pays qui les avait accueillis. Ce fut aussi le cas de nombreux combattants africains et maghrébins issus des colonies, simples sujets de l'Empire français.





À l’occasion de la sortie de la BD sur les FTP-MOI (Francs-tireurs et partisans – main d’œuvre immigrée) de Laurent Galandon et Jeanne Puchol, Vivre à en mourir (éd. Le Lombard)
Rencontre avec Laurent Galandon et Jeanne Puchol   

Marcel Rayman nait dans une famille juive polonaise le 1er mai 1923 à Varsovie. Lorsqu’il a 8 ans, ses parents émigrent en France avec son petit frère Simon. Dès 1942, bien que pacifiste, Marcel est très actif dans la résistance avec son ami Henri Krasucki. Il entre au 2e détachement des FTP-MOI et fait rapidement partie du groupe Manouchian.